Artisanat
Le travail du cuir reprend du poil de la bête
Les métiers d’art se retrouvent davantage sous le feu des projecteurs. Exemple à Cordes-sur-Ciel, où l’atelier Kontrevent conquiert progressivement du terrain au-delà des remparts.
Les métiers d’art se retrouvent davantage sous le feu des projecteurs. Exemple à Cordes-sur-Ciel, où l’atelier Kontrevent conquiert progressivement du terrain au-delà des remparts.
À quelques centaines de mètres du lieu où se situaient les anciennes tanneries du bord du Cérou, les métiers du cuirs ont su résister dans la cité. Aujourd’hui, l’alliance des gestes traditionnels et de la modernité aident à faire perdurer des métiers où la qualité est le maître-mot. Aurélia Boutry nous dévoile son métier de maroquinière.
> Depuis quand votre atelier est installé et pourquoi avez-vous choisi Cordes ?
Cela fait une dizaine d’années que je suis installée ici. J’ai découvert le village grâce à des amis qui avaient emménagé dans la région. C’était un véritable coup de coeur !