Dossier Filière
Un prix correct mais des volumes revus à la baisse
Les Volailles du Ségala (AVS) commercialise aujourd’hui autant de pintades que de poulets. Une “force” selon son président, qui fait néanmoins face à certaines difficultés.
Les Volailles du Ségala (AVS) commercialise aujourd’hui autant de pintades que de poulets. Une “force” selon son président, qui fait néanmoins face à certaines difficultés.
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Née d’une demande des abattoirs locaux dans les années 1985, les Volailles du Ségala a connu de plus ou moins importantes évolutions au fil des années et décennies. À ce jour, l’association est plus que jamais dépendante du pouvoir d’achat des consommateurs. Président depuis près de 5 ans maintenant, Sébastien Tarroux s’est confié sur le sujet.
> Qui compose l’association, et quels bienfaits en tirent ils dans leur activité ?
"AVS regroupe aujourd’hui 17 éleveurs, qui s’étendent de Réalmont à Tauriac-de-Naucelle dans l’Aveyron. C’est un chiffre stable, qui a même augmenté en 2022. L’association est gérée par des “quasi-bénévoles”, avec notamment une personne qui s’occupe du planning des commandes aux couvoirs. En termes de frais de fonctionnement, c’est très très light. C’est d’ailleurs une marge très intéressante pour les éleveurs. On a un contact assez régulier avec eux tout au long de l’année.”