«Le télescopique, c’est un peu notre brouette mécanique !»
Chez Eric et Thierry Puech, à Moularès, le télescopique est devenu un outil indispensable. «On le démarre dix fois par jour !» constatent-ils.
La preuve par l’exemple. En arrivant sur l’exploitation de Thierry et Eric Puech à Moularès, on remarque immédiatement le télescopique a l’œuvre. Au volant, Eric déplace des sacs sur une palette.
Les deux frères sont installés en Gaec sur une exploitation de 180ha SAU avec deux troupeaux, un élevage bovin viande 70 mères et un élevage ovin viande de 360 brebis.
Le télescopique Claas est présent sur l’exploitation depuis 10 mois. «Nous avons remplacé le précédent modèle qui avait 5000 heures. Depuis le mois de mars, il a déjà fait 500 heures.» Il faut dire que c’est un matériel très sollicité. «On l’utilise pour le curage du fumier, pour empiler les boutes de paille ou de foin, et pour l’enrubanné. On s’en sert pour tout ce qui est transport du matériel entre les bâtiments, et même à l’intérieur. Il nous sert avec la dérouleuse dans la bergerie.» Les deux frères apprécient la polyvalence de l’outil. «Le télescopique, c’est un peu notre brouette mécanique. On le démarre 10 fois par jour pour faire plein de choses !»
Sur ce modèle (Claas Scorpion 60.35) Eric et Thierry Puech apprécient la boite de vitesse hydrostatique. «C’est très agréable à conduire par rapport au précédent modèle que nous avions et qui avait une boite mécanique avec un convertisseur. Là c’est du confort !» Fin de l’entretien. Le télescopique est déjà redémarré pour une autre tâche… Un vrai valet de ferme.
A.RENAULT
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